Kinésiologie

Réflexologie Cranio-Sacrée

C’est une technique douce par de petites impulsions pour redonner le sens du mouvement, simple, mais complète, elle adresse tous les membres (inferieurs, supérieurs, pieds, mains, articulations) et les viscères.

Elle n’établit pas de diagnostic médical, mais pose un constat énergétique de perturbations fluidiques. Les corrections proposées permettent au corps de retrouver ses capacités d’adaptabilité.

« Le corps nous livre ses secrets et c’est à nous de lui montrer le droit chemin vers la santé »

Historique

« Veuillez apaiser la douleur ».

Les premières traces de l’utilisation de la réflexologie remontent à environ 2330 ans AV JC, en Egypte. C’est dans le tombeau d’un pharaon médecin (Ankhmahor) que fut retrouvé le premier témoignage de l’utilisation de la réflexologie. En effet, on peut observer sur son sarcophage la représentation de diverses scènes comme l’accouchement, l’embaumement et la réflexologie. Sur les représentations de réflexologie plantaire et palmaire, on peut lire inscrit en hiéroglyphe :  

Cependant, la civilisation égyptienne n’est pas la seule à avoir eu recours à la réflexologie, on en retrouve des traces ou allusions dans beaucoup d’autres également. Par exemple, en chinois, l’idéogramme « pied » signifie « partie du corps sauvegardant la santé ».

En Inde, les pieds de Vishnu sont toujours richement garnis de symboles.

Cette pratique est communément pratiquée depuis près de 5000 ans et fait partie à part entière de la médecine chinoise.

Le pied là-bas est une partie spirituelle du corps.

En Asie, l’empreinte de pied du Bouddha est toujours illustrée avec diverses petites cases représentant chacune une partie du corps.

Petit à petit, des spécialistes ont cherché à mieux comprendre et à rationaliser ces méthodes empiriques et lui ont donné, sous l’influence de David PALMER (1845-1913), le nom de chiropraxie (aux États-Unis, deux mouvements existent : les chiropracteurs non-médecins et les ostéopathes plus officiels et plus médicalisés).

Une autre aventure médicale débute avec le docteur américain William-Garner SUTHERLAND (1873-1954), élève du docteur Andrew-Taylor STILL (1828-1917) (qui donna le nom d’ostéopathie au renouveau de la médecine manipulatrice) : il est l’inventeur de l’ostéopathie crânienne. C’est en observant les biseaux de l’os temporal puis en désarticulant minutieusement un crâne avec un canif, qu’il comprend l’emboîtement réciproque des os favorisant ainsi le glissement et la malléabilité du crâne. « Des biseaux comme les ouïes d’un poisson, indiquant une mobilité articulaire pour un mécanisme respiratoire… ».

Plus récemment Maurice-Raymond POYET (1928-1996), d’abord infirmier puis kinésithérapeute, aimant surtout soulager grâce à ses mains utilisa, et surtout simplifia en l’améliorant, l’ostéopathie structurelle et crânienne, apprise à l’Institut W-G. Sutherland, la première école d’ostéopathie créée en France, par André Brunel, en 1975. Rapidement, le plaisir de transmettre son savoir et son savoir-faire le conduit à l’enseignement.

C’est ainsi que le Dr. Jean MARCHANDISE (1954 -), sortant d’une formation en acupuncture (avec Robert Courbon) et en homéopathie (avec Dominique Senn), persuadé de la puissance des techniques énergétiques, fut l’élève de M-R. Poyet durant 4 ans. Avec d’autres élèves, il a aidé M-R. Poyet à concevoir et structurer cette nouvelle technique ; il l’a intitulée : « Réflexologie crânio-sacrée ». Son activité de « médecin de campagne » à Saint-Flour, dans le Cantal, l’a amené à expérimenter et valider sur de très nombreux patients les bienfaits de cette méthode.

Maurice-Raymond Poyet est décédé en 1996 et Jean Marchandise à développé et transmet ça technique douce en l’adaptant au fur et à mesure de son expérimentation, soucieux de la mettre à la portée de tous avec malgré tout l’exigence d’une certaine rigueur.

En se détachant de la lignée des techniques purement ostéopathiques, il nous permet ainsi d’avoir accès à cette technique d’approche fluidique du corps, tout en restant dans la limite du domaine de notre compétence qui doit être celui du retour à l’équilibre.

Tous les constats seront faits au crâne et la correction en périphérie, sur le corps.
L’individu à prendre en charge par cette technique peut-être un nouveau-né ou un centenaire ! Peu importe, pas de traumatisme, aucune manipulation en force, uniquement « le poids d’un papillon se posant sur une fleur » (toucher léger ) comme le rappelait souvent Maurice-Raymond Poyet. Peu importe la douleur, il n’y a pas de diagnostic à poser, uniquement un constat de perturbations fluidiques.

C’est aussi une technique « préventive » prenant en charge les individus qui veulent rester en bonne forme (voir par exemple son praticien tous les 6 mois en prévention pour éviter les blocages)

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